Les boxeurs sont un peu fanfarons, mais c’est un défaut héroïque. Les héros d’Homère n’étaient jamais à court de vantardises, et les Dieux Olympiens, en dépit de leur majesté, s’agrafaient entre eux avec véhémence.
Sûr que Tony Yoka appréciera.
Plus de Tristan Bernard dans Le Marquis des stades, éditions Le Castor Astral.
Tristan Bernard prend la défense de Tony Yoka