En terrassant le Mexicain Fernando Montiel samedi à Las Vegas, le « Flash » des Phillippines, Nonito Donaire Jr, a inscrit un peu plus la rivalité entre les deux nations dans l’histoire du noble art. Dans ce duel d’excellence entre deux amis, c’est la fierté nationale qui était en jeu, entre les cordes du Mandela Bay. Et c’est au son des « Mexico, Mexico » de la foule que les deux boxeurs ont échangé les premiers coups.
Une adversité nouvelle qui prend ses racines dans les exploits d’un homme. Manny Pacquiao, la fierté des Philippines, l’a créé à la seule force de ses poings. Sur la route de ses huit titres de champion du monde, « Pacman » a défait les plus grands combattants aztèques : Antonio Margarito, Marco Antonio Barrera, Juan Manuel Marquez pour ne citer qu’eux. A tel point qu’on l’a surnommé le « Mexi-cutioner » (« exécuteur de mexicains » littéralement), un sobriquet qu’il déteste mais qui lui va comme un gant.
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